Le marché marocain pas profitable

Il n’est guère reluisant, le marché marocain. Beachcomber affirme qu’il est source de pertes nette, contrairement au marché mauricien. Le Domaine Royal Palm Marrakech, a ouvert ses portes en décembre 2013. Il s’étend sur 231 hectares et dispose de 93 villas (pour la première phase), un parcours de golf de 18 trous et l’hôtel Royal Palm Marrakech. L’établissement comprend 134 suites et villas. Or, en 2015, le nombre de visiteurs dans ce royaume a chuté de 1 %. Toutefois le groupe Beachcomber ne baisse pas les bras. Il travaille activement, pour améliorer les performances à Marrakech.

Alors qu’au Maroc, on positive sur une chute moindre des arrivées, à Maurice il est question d’embellie avec des arrivées de 1,23 million en 2016. Les recettes atteindront les Rs 54 milliards, selon les estimations de la Banque de Maurice. Après une fin d’année 2015 en boulet de canon, 2016 sera donc une nouvelle année de records.

De plus, les acteurs de l’industrie touristique, travaillent en étroite collaboration pour se débarrasser de la basse saison. Cette période s’échelonne sur six mois, synonyme de pertes pour les opérateurs. Beachcomber, premier groupe hôtelier du pays en termes d’hôtels, de recettes et de capitalisation boursière, affirme que les affaires pour la période du 1er avril au 30 juin sont positives.

Le CEO de Beachcomber Gilbert Espitalier-Noël, avance qu’il y a d’abord la bonne performance du premier trimestre de la présente année financière 2015-2016, avec une croissance de 45 % des profits opérationnels et de 23 % des profits après impôt. Le deuxième trimestre s’annonce tout aussi bon », indique. Les réservations pour le troisième trimestre sont en nette progression par rapport à l’année dernière. La passion et la motivation de toutes nos équipes y sont pour quelque chose dans ces résultats.

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